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Dominique Lanquetin, Cadre Bloc Commun, Hôpital de mon doudou, Hôpital Robert Debré, AP-HP, Paris :
« L’installation de « l’Hôpital de mon Doudou » a vraiment changé l’accueil de l’hôpital de jour. Aujourd’hui, nous avons une belle salle d’attente colorée et joyeuse. Les enfants sont très contents de recevoir ce nounours que nous leur donnons à leur arrivée. C’est vraiment un plus et ça permet de briser la glace tout de suite avec l’enfant. Ils ne viennent pas juste à l’hôpital pour une intervention. Le Toudou permet de les accompagner, de leur expliquer ce qu’on va leur faire dans le bloc opératoire. Le doudou les suit en salle de réveil et les raccompagne jusqu’à chez eux. C’est vraiment un plus ! Les enfants sont ravis ! »
Angélique Broust-Bois, Puéricultrice au Centre Hospitalier de Cannes :
« Souvent les enfants viennent directement pour un bilan sanguin ou des perfusions. Le doudou est offert à ce moment-là et on commence à leur montrer le soin sur le doudou. Pour nous, c’est un objet très sympathique mais aussi un vrai outil de travail. On met à disposition des enfants du matériel pour pouvoir jouer au docteur, un brancard pour qu’ils puissent l’installer dessus. Même si les soins se passent bien la plupart du temps, le doudou devient le partenaire de soins. Ils comprennent mieux, parce qu’on le fait sur le doudou, on le montre et après ils peuvent le refaire eux-mêmes sur le doudou et les soins se passent mieux. C’est une chance de pouvoir avoir cette approche là avec l’enfant et de le voir a posteriori dédramatiser tout ce qu’il a vécu. Quand ils parlent d’hospitalisation, ils sont super contents de comment ce sont passés les choses. Ils ont leur doudou sous le bras et c’est chouette de voir ça ! »
Yves Servant, Directeur du Centre Hospitalier de Cannes :
« L’hôpital n’est pas qu’un lieu de soin, c’est un lieu d’humanité. Un lieu également parfois de joie et cette initiative auprès de nos enfants est une initiative largement soutenue et dont je me réjouis. C’est la magie de l’enfance, c’est la projection, c’est la relation particulière qu’il noue avec ce doudou qui est également une source d’enseignement très riche pour nos professionnels de santé ».
« Cela nous facilite le contact tout de suite. Cela fait un lien de transition entre nous et les enfants. Le doudou en lui-même créé déjà le lien. On rentre plus dans le jeu car avec l’IRM, il peut essayer de jouer donc on est plus dans le jeu que dans l’examen médical »
Baptiste Morel, Chef du service de radiologie pédiatrique, Hôpital Clocheville, Tours :
« Nous avons un doudou à offrir à l’enfant, sur lequel on va pouvoir expliquer comment se passe l’IRM. Notamment grâce à l’IRM factice que nous avons construit grâce à l’Association PharmaVie. On attend de ce concept une amélioration de l’ambiance et de la prise en charge. Quand l’enfant rentre dans la salle IRM, il est beaucoup plus serein. Il a déjà vu comment va se passer l’examen. Les images sont de meilleures qualités. Cela a un réel impact médical car moins l’enfant bouge, meilleure sera la qualité des images que l’on aura de l’IRM ».